Cette rubrique propose des articles qui présentent les résultats d'études sur le vin et la santé.
L’homme sort-il de son ignorance en commençant à connaître le génome de la vigne ? Le philosophe grec Thucydide, qui pense que l’homme s’en est libéré en commençant à cultiver la vigne et l’olivier, l’aurait prétendu en ces temps modernes.
Etudes publiées par la Deutsche Wein Akademie : historique du vin, effets d’une consommation modérée de vin sur les maladies cardiovasculaires, cérébrales, le diabète, le cholestérol et le cancer.
Tout est dans la mesure. Sauf avec les produits inactifs. Le resvératrol est la “chose du Vératre”. C’est à partir de cette plante, Veratrum album, commune en France dans les prairies alpines, que le resvératrol a été isolé pour la première fois. Elle en contient de grandes quantités.L’isolement aurait aussi très bien pu avoir lieu à partir d’une autre plante qui en est riche : Polygonum cuspidatum. Sur le même principe de dénomination, le produit aurait alors pu être respolygonol.
La comparaison entre les 21 pays les plus industrialisés du monde avait conduit St Léger AS, Cochrane AL, et Moore F à formuler l’hypothèse que la protection de la mortalité cardiaque par la consommation d’alcool, pouvait être liée essentiellement à la consommation de vin.
Qu’est ce qu’une consommation modérée de vin ? A-t-elle un effet bénéfique sur la santé ? Si oui, à quel niveau ? Si non, y a-t-il des risques à consommer du vin même raisonnablement ? Et dans ce cas quels sont ces risques ? Et plus généralement le vin est-il bon pour la santé ? Autant de questions qui nous intéressent tous, et pour lesquelles les réponses ne sont pas simples.